Ici discutions BALLOUCHI

Gafsiens du monde bonjour,
Ce site est à vous et pour vous
Alors utilisez le pour rester en contacte avec vos proches,
Cette page et comme toutes les autres rubriques du site sont ballouchi pour vous dire que le mot ( BALLOUCHI) c'est une recette Gafsienne ) alors .......!.
ce forum il n'est pas destiner que pour le foot , dans la vie de tous les jours on peux trouver des discutions libres, de la poèsies, de l' histoires locations ventes, recettes et cuisines Gafsienne GRITFA BARCOUKECH ASIDA OSBANE ext...... ext
mes amis aider nous à le faire vivre avec une pensée forte à notre grande Gafsa d'este en oueste . Mes amis suivez-moi ....................................... et bonne chance

[b]Salut Mon ami Kamel,
Je sais pas comment faire pour vous arracher a nos ecrires tes belles poesis qui raconte votre amour et le notre aussi vers Gafsa
Venez Monsieur rejoindre
Smile

Cher ami ta réinvitation me touche enormement, je ne suis pas parti j'ai toujours un oeil sur le site du Stade Gafsien et son évolution et même si je me trouve en France à des centaines de kilomètres sache que mon coeur est toujours à Gafsa la belle et avec vous

Kamel 39 est de retour

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On rencontre sa destinée
Souvent par les chemins qu'on prend pour l'éviter.

Bonjour à tous je suis de retour et pour toujours , si je suis ici c'est pour donner une chance suplementaire et un coup de pouce à mon ami et le votre aussi (si Barhoumi) Gafsien. Pour vous et avec vous Gafsa la belle marquera son histoire de grande ville.
Ici je ne parle plus de foot seulement je laisse parler mes images. Je compte sur vous pour nous aider à faire vivre notre beau site du STADE SPORTIF GAFSIEN

Cette image est prise l'été dernier à Gafsa la belle et le texte d'une amie, c'est beau non?

pour vous mes amis une belle image dans l'oasis (jar tayella) biensur à Gafsa à vous aussi de poster si vous le souhaitez vos coups de coeurs c'est facile et rapide et bien sur ballouchi allez à vous
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Passer la porte de son salon de coiffure c'est l'assurance d'y trouver un accueil personnalisé,une équipe dynamique et sympathique mais surtout des talents et une technique en perpétuelle recherche. C'est à Gafsa la belle bien sur que vous trouvez votre bonheur

à toutes et à tous je vous dis à la semaine prochaine avec d'autres images parlantes

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Je dédie cette belle image qui représente le sud Tunisien à ma famille, mes amis et à mes proches.

ÄAM MOUBAREK oi Koul ââm oi entoum bi khayr

Merci Si Kamel sa fait chaud au coeur de decouvrir toute cette richesse de notre belle Gafsa et c'est pas etrange de ta part on vient de commencer a attendre vos commentaires et vos belles images
merci et Aid Mabrouk et inchallah les supporteurs de Stade Sportif Gafsien reagit devant cette exposition

Allez les amis c'est juste pour le plaisir des yeux et pour vous donnez l'envie de revenir nous lire sur ce beau site de Stade Sportif Gafsien. Aidez nous donc à le faire vivre, ., Notre divise ici c'est de laisser vos coeurs s'exprimer librement et vous dire aussi que notre grande Gafsa d’est en ouest est belle et bien belle et c’est pour elle que le dernier mot revient vote ami à tous Kamel SOUID

Allez un peut de poèsie

Allez les Gafsos un peut de lecture ( merci à la presse Tunisienne)
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Jeunes et agression verbale
Les "mots à maux"
La scène se déroule dans la cour d'un lycée : une dispute éclate entre deux jeunes lycéens et s'envenime. Des mots grossiers fusent. Une situation devenue assez fréquente, voire normale dans ce lycée de la capitale où l'usage de termes vulgaires est devenu monnaie courante.
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Le phénomène s’est accentué depuis plusieurs années : alors qu’elle se limitait aux fortes altercations, l’utilisation des mots vulgaires s’est "normalisée" et s’observe même dans les discussions entre voisins, collègues, camarades de classe...

"Même certaines filles ont pris l’habitude, en parlant entre elles, d’utiliser des termes grossiers. C’est une façon d’affirmer leur personnalité et leur égalité par rapport au sexe opposé", a observé une jeune lycéenne inscrite en cinquième année secondaire. "Dans la mesure où elle porte atteinte à l’intégrité morale de l’autre, la violence verbale est considérée par la plupart d’entre nous comme un moyen efficace de défense, dès lors qu’elle permet de neutraliser l’autre", affirme une autre lycéenne.

Se traiter de tous les noms d’oiseaux dès qu’une altercation survient, proférer un chapelet d’injures à la moindre contrariété, utiliser, pour certains, un langage imagé dès qu’on émet un avis sur un thème donné; les causes qui président à la normalisation des termes grossiers sont diverses. Dans une garderie scolaire, la responsable avance, comme raison, la crise d’autorité parentale qui se traduit, notamment, par le laxisme dont font preuve certains parents "en fermant les yeux" sur des comportements inadmissibles de leurs enfants.

Autres temps, autres pratiques

"A la base, c’est une question d’éducation. Avant, il était inadmissible, voire impensable, de prononcer des mots grossiers devant une personne d’un certain rang ou d’un certain âge, en l’occurrence, les grands-parents et les parents. Dans la structure familiale traditionnelle, le patriarche imposait le respect. Il y avait des règles de conduite à respecter. L’usage des termes grossiers faisait partie des interdits à ne pas transgresser.

Les relations ont profondément changé au sein du nouveau modèle familial qui est celui de la famille nucléaire. Il n’y a plus de respect des règles. Parfois, les parents se disputent et s’insultent devant les enfants. Ces derniers sont réprimandés par leurs parents qui utilisent, souvent, un vocabulaire non approprié.

Les enfants mémorisent, alors dès leur plus jeune âge, les propos ou les mots utilisés par leurs parents et les réutilisent à l’école, dans la rue...". Le recours à des termes grossiers dans les échanges verbaux figure aussi parmi les codes de conduite implicites mis en place par les jeunes garçons dans certains quartiers pour exprimer et affirmer leur virilité au sein du groupe. Mais au-delà de cette fonction de socialisation, le recours à ce type de jargon répond également au besoin d’extérioriser des frustrations enfouies. "En s’exprimant de la sorte et en usant de mots grossiers dans leurs échanges, les jeunes y voient un moyen de transgresser certains tabous dont notamment celui de la sexualité", relève un jeune cadre dans une entreprise publique.

Les parents, l’école, la rue et les médias

Par ailleurs, outre le fait qu’en tant qu’objet d’identification, les parents ne remplissent plus, comme il se doit, leur rôle de garde-fou, l’encadrement des enfants ne se fait plus convenablement en dehors de la structure familiale, ce qui ne manque pas de contribuer à amplifier davantage ce phénomène, selon le Docteur Jaâfar Mondher, psychothérapeute et comportementaliste. “Ce ne sont plus les parents seulement qui éduquent leurs enfants. Il y a d’autres intervenants dans l’éducation et la socialisation de l’enfant: la rue, le jardin d’enfants, l’école, les médias… Par conséquent, on se retrouve avec des enfants qui n’ont plus de repères fixes pour observer des règles bien précises. Prenons le cas des médias, certaines chaînes satellitaires, très regardées par les jeunes, véhiculent ce type de vocabulaire”.

S’exprimant sur le même thème, Mme Radhia Halouani Chebbi, docteur en psychosociologie, impute cet état de fait à un appauvrissement du champ lexical et à une régression et un dysfonctionnement des mécanismes d’intériorisation des valeurs morales et citoyennes.

“Agresser l’autre est une façon de s’affirmer à défaut d’autres formes. Mais c’est surtout un individu qui n’a pas de capacités internes. La seule arme qu’il trouve est celle d’exprimer, d’une façon brute et brutale, son état d’humeur du moment. Il faut comprendre, aussi, que cette question est liée au bagage culturel et au niveau intellectuel de la personne. Plus ce bagage culturel est riche et plus on est imbu de valeurs morales, mieux on fait preuve de self-contrôl et moins on est agressif”.

ALLEZ LES GAFSOS
bonne journée et bonne lecture Kamel souid

Imen HAOUARI

notre belle ville de Gafsa un soir d'été " c'est super non?."

Hééééé les copains: il n'y a pas que le foot sur le forum du Stade Sportif Gafsien

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HANDBALL - Championnat du monde — Tour principal — 3e journée

Relevez la tête !

Sans doute, ne reste-t-il plus qu’une toute petite lueur d’espoir à nos porte-drapeaux pour atteindre l’objectif assigné d’accéder aux quarts de finale et de se racheter d’une prestation plutôt décevante au terme de leur troisième défaite consécutive de ce mondial allemand.
La mission était rendue de plus en plus difficile au fil des défaites. Et, au lieu d’être, à ce stade de la compétition, complètement dégagés et sereins parce que déjà qualifiés, nos joueurs évolueront encore sous pression, aujourd’hui, face à la Pologne parce qu’ils sont condamnés à gagner.
C’est terrible pour les nerfs, et l’on ne peut que plaindre ces valeureux combattants, de nouveau prêts à se jeter dans l’ultime bataille qui va définitivement décider de leur sort. Ces combattants qui, depuis maintenant environ trois ans, n’ont jamais épargné une goutte de sueur pour défendre crânement les couleurs nationales et porter haut le drapeau du pays.
Ils l’ont fait avec autant de bravoure, d’abnégation, que de générosité dans l’effort drainant avec eux tout un peuple qui a appris à les aimer, les aduler parce qu’ils se dépensaient sans compter, se surpassaient toujours davantage et se montraient à tous points exemplaires.
Et, à chacune de leurs sorties, en commençant par le championnat du monde Tunisie 2005 pour arriver à la Coupe du monde Suède 2006, en passant par le championnat d’Afrique 2006 et, pourquoi l’oublier Bercy et les Jeux méditerranéens Almeria 2005, ils n’ont cessé d’apporter du baume dans le cœur des supporters de plus en plus nombreux, et de procurer de la joie dans l’ensemble des foyers faisant du hand la grande passion des Tunisiens.
Cela fait cinq échéances de suite, cinq grandes compétitions internationales qu’ils ont jouées à un très haut niveau. A chaque fois, nos combattants étaient au rendez-vous avec l’histoire, forçant l’admiration de toute la planète du hand, subjuguée, à ne pas croire, face à tant de talent, tant de prouesses, tant de réussite.
Non ! Nous ne sommes pas prêts d’oublier ces trois ans de rêve que vous nous avez procurés. Nous ne vous serons pas ingrats de tant d’émotions, tant de sensations, tant de bonheur que vous nous avez donnés.
C’est, aujourd’hui plus que jamais, au moment où on vous sent fatigués, épuisés, saturés, que nous nous devons de vous rendre justice.
N’ayez pas la mine si triste ! Ne prenez pas cet air de désolé! Ne parlez pas la voix basse comme si vous aviez commis un péché !
Vous vous êtes encore battus et vous avez imposé le respect !
Il vous suffit d’avoir mobilisé tout un pays, l’Allemagne, celui qui compte le plus grand nombre de handballeurs dans le monde, d’avoir fait les manchettes de tous les journaux germaniques, d’avoir attiré 14.000 fanatiques supporters des allemands dans une salle d’une capacité habituelle de 12.500 places.
Cette fois, la réussite n’était pas de votre côté. La chance, parce qu’il en faut, ne vous a pas souri. C’est la loi du sport. On ne peut gagner interminablement.
Quand on perd, il ne faut pas s’effondrer ! Il faut savoir rester debout ! A condition de s’être, en son âme et conscience, pleinement dépensé.
Et, nous sommes convaincus que vous n’avez ménagé aucun effort pour encore vous distinguer. Vous êtes passés à très peu de choses prés. Comme très peu de choses vous avaient hissés aux sommets. C’est cela le hand de haut niveau. Il se joue sur de très de petits détails. Et ce mondial l’a encore prouvé. Cette fois, c’est vous qui en avez fait les frais.
Il ne faut point douter de vos capacités.
De ce mondial, l’équipe que vous êtes devrait sortir plus solide, plus solidaire, plus consolidée. Ne vous laissez guère déstabilisés.
Avec les jeunes qui ont percé, vous avez les moyens de vous retrouver, de davantage nous régaler, de vous maintenir au haut standing auquel vous nous avez habitués.
Slah Boudhina
Ici discutions BALLOUCHI Laurelhn6

Allez un peu de poèsie comme j'aime

Je dédie ce beau poème à une amie Gafsienne

Vraiment vous avez bien pressé sur nos emotions avec ces belles photos de Gafsa et avec ces belles poesie
Merci Monisieur

mon cher ami c'est normal , et c'est avec plaisir que je mets mes services à la grande famille Gafsienne

Pour vous mes amis Gafsiens cette belle histoire vrai

La main de l'espoir !

JE VOUS INVITE À LIRE LE TEXTE AVANT DE
REGARDER L'IMAGE AU BAS DE CETTE PAGE ...
Cette photo est celle de Samuel Alexander Armas, un enfant,
ou plutôt un foetus de 21 semaines qui devait être opéré à
l'intérieur de l'utérus par le chirurgien Joseph Bruner.

Le bébé souffrait d'une maladie du nom de «Spina bifida»
et n'aurait pas survécu à l'extérieur de l'utérus.

La mère, Julie Armas, un infirmière en obstétrique, avait
entendu parler des remarquables opérations pratiquées par le
Dr Bruner alors que l'enfant est toujours à l'intérieur de l'utérus.

Après avoir sorti l'utérus du ventre de la mère, le chirurgien
fait une petite incision et il peut ainsi opérer le fœtus.

Pendant l'opération, Samuel a sorti sa petite main complètement formée par l'ouverture, il a attrapé le doigt du chirurgien et l'a serré très fermement. La photo capture ce moment prévilégié de façon très claire.

L'éditeur a intitulé la photo :

« La main de l'espoir »

et le texte disait :

«La petite main de Samuel Alexander Armas est apparue
hors de l'utérus de sa mère pour agripper le doigt du
Docteur Bruner comme pour lui dire :

"Merci d'essayer de me sauver !
Comme vous voyez, je m'accroche à la vie.»

VOICI CETTE INCROYABLE ET TOUCHANTE PHOTO

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